Meta AI

Problèmes de santé, difficultés familiales, questions un peu honteuses… On peut tout demander à un chatbot, le problème est de savoir ce qu’il en fait par la suite. Meta s’est pris les pied dans le tapis : une combinaison de choix douteux d’interface et de maladresse des utilisateurs ont exposé au grand public des requêtes Meta AI qui auraient dû rester confidentielles.

Problèmes de santé, difficultés familiales, questions un peu honteuses… On peut tout demander à un chatbot, le problème est de savoir ce qu’il en fait par la suite. Meta s’est pris les pied dans le tapis : une combinaison de choix douteux d’interface et de maladresse des utilisateurs ont exposé au grand public des requêtes Meta AI qui auraient dû rester confidentielles.

Les utilisateurs français et européens de Facebook, Instagram ou encore Messenger (tout le monde, finalement) vont recevoir, dans les prochains jours, une notification pour annoncer que leurs posts publics et leurs commentaires servent à entraîner Meta AI. Le bot a été lancé dans l’Union européenne le mois dernier. Qu’on se rassure, il sera possible de refuser la collecte de données.

Les utilisateurs français et européens de Facebook, Instagram ou encore Messenger (tout le monde, finalement) vont recevoir, dans les prochains jours, une notification pour annoncer que leurs posts publics et leurs commentaires servent à entraîner Meta AI. Le bot a été lancé dans l’Union européenne le mois dernier. Qu’on se rassure, il sera possible de refuser la collecte de données.