Un satellite géostationnaire chinois vient d’utiliser une technologie laser à très basse intensité, de seulement 2 watts, pour transmettre des données vers la Terre, à un débit cinq fois supérieur à celui du réseau Starlink situé sur l’orbite basse. La Chine marque un grand coup, et montre qu’elle est en mesure de surpasser le problème de la turbulence atmosphérique.

Un satellite géostationnaire chinois vient d’utiliser une technologie laser à très basse intensité, de seulement 2 watts, pour transmettre des données vers la Terre, à un débit cinq fois supérieur à celui du réseau Starlink situé sur l’orbite basse. La Chine marque un grand coup, et montre qu’elle est en mesure de surpasser le problème de la turbulence atmosphérique.